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bd - livres

Train de nuit pour Lisbonne (2004 - Pascal Mercier)

Voici le livre de mon été, celui qui m'a accompagné pendant un bon mois et pour lequel j'ai ralenti la lecture car je ne voulais pas le quitter. Je tiens à remercier Frédéric Guerbignot, le libraire et Gérant de la librairie "Lu & approuvé" située à Amboise. Un vrai passionné qui a su me faire repartir de sa librairie avec une flopée de titres.

 

Le pitch : Éminent professeur de latin, Raimund Gregorius mène à Berne une existence morne. La vision d'une femme sur un pont et la découverte du poète portugais Amadeu de Prado bouleversent brusquement sa vie. Alors que la poésie lui révèle un monde ardent, intime et lumineux, il prend le premier train pour Lisbonne, sur les traces d'Amadeu... et d'une nouvelle raison d'être.

 

Ce livre m'a passionné dès ses premières pages avec ce personnage de professeur qui décide de changer de vie, de partir sur les traces de cet auteur portugais dont nous allons découvrir la vie grâce aux personnes qui l'ont côtoyé.

 

On se plait à errer dans les rues de Lisbonne avec Gregorius et le tour de force de ce livre est qu'il en contient un autre puisque l'on pourra lire l'intégralité du livre écrit par l'auteur portugais Amadeu de Prado, une réflexion philosophique sur la vie.

 

Un roman que je recommande vivement car c'est très bien écrit et ce récit de vie est tout bonnement passionnant.

 

L'auteur suisse Pascal Mercier

 

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Chroniques martiennes (1950 - Ray Bradbury)

Je continue après Les annales du disque monde de Terry Pratchett, Le voyageur imprudent de René Barjavel et Dune de Frank Herbert de découvrir des classiques de la science fiction avec un auteur majeur dans le genre et sa série de nouvelles Chroniques martiennes. Je parle ici de Ray Bradbury, un écrivain américain qui est également l'auteur de Farenheit 451 que je n'ai pas encore lu.

 

Le pitch : 2030, les premières fusées quittent la Terre pour un monde nouveau. La colonisation de Mars vient de débuter. Mais, sur la planète rouge, vit déjà un peuple d’une infinie sagesse. Cette antique civilisation devra-t-elle disparaître pour qu’une nouvelle puisse s’épanouir? 

 

 

 

Cette série de nouvelles narrent les tentatives de colonisation de la planète rouge par les humains. Un choc culturel, des guerres mais surtout une belle réflexion sur la nature humaine car la trace de l'homme n'est pas sans conséquences sur la population et bien sûr, sur la planète elle-même.

 

 

 

En effet, il apparaît assez vite que l'homme s'attache à reproduire les mêmes actes ou qu'il soit et sans forcément apprendre de ses erreurs. Bradbury ne considérait pas ce recueil comme de la SF mais comme une fable et je suis assez d'accord avec ça. L'auteur en profite pour parler de thématiques très actuelles à l'époque et encore bien présentes aujourd'hui : Religion, famille, deuil, racisme, etc.

 

Même si les nouvelles sont inégales qualitativement parlant, l'ensemble est vraiment divertissant et de très bonne facture.

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En attendant Bojangles (2016 - Olivier Bourdeaut)

Six ans, c'est le temps qu'aura passé ce premier roman d'Olivier Bourdeaut sur les étagères de ma bibliothèque. J'adore les livres et de fait j'en possède beaucoup et je ne les lit quasiment jamais au moment de leur sortie à quelques exceptions près. A part l'envie du moment, il y a souvent les adaptations cinéma qui me poussent à lire certains livres car je préfère découvrir l'oeuvre originale avant son adaptation ciné. C'est ce qui m'est arrivé avec Le seigneur des anneaux ou plus près de nous Dune. Sortie au ciné en ce mois de janvier, j'avais hâte de lire cette histoire recommandée par ma libraire préférée.

 

Le pitch : Sous le regard émerveillé de leur fils, ils dansent sur «Mr. Bojangles» de Nina Simone. Leur amour est magique, vertigineux, une fête perpétuelle. Chez eux, il n’y a de place que pour le plaisir, la fantaisie et les amis.
Celle qui donne le ton, qui mène le bal, c’est la mère, feu follet imprévisible et extravagant. C’est elle qui a adopté le quatrième membre de la famille, Mademoiselle Superfétatoire, un grand oiseau exotique qui déambule dans l’appartement. C’est elle qui n’a de cesse de les entraîner dans un tourbillon de poésie et de chimères. Un jour, pourtant, elle va trop loin. Et père et fils feront tout pour éviter l’inéluctable, pour que la fête continue, coûte que coûte. L’amour fou n’a jamais si bien porté son nom.

 

Ce livre fait beaucoup de bien et nous fait vivre beaucoup d'émotions différentes à l'image des protagonistes du livre. L'histoire m'a fait penser à L'écume des jours de Boris Vian car c'est très inventif, c'est folledingue et poétique. Pour un premier roman, Olivier Bourdeaut nous a livré une oeuvre vraiment originale et marquante. Il a fait le pari réussi de nous conter cette histoire au travers du regard de l'enfant du couple, ce qui a pour conséquence immédiate, d'adoucir certains points de l'histoire.

 

 

Le livre est à dominante joyeuse car il y a énormément de fantaisie et de moments de pur bonheur, au coeur de cet amour fou et unique mais l'histoire nous réserve également des moments dramatiques dont je ne parlerai pas ici pour ne pas gâcher votre lecture.

 

A lire sans hésiter pour passer un délicieux moment....

Le passage d'Olivier Bourdeaut à La Grande Librairie en 2016

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Une femme en contre-jour (2019 - Gaëlle Josse)

Racheté à ma ma bibliothèque, j'avais très envie de lire ce livre avant de ma rendre à l'exposition du musée du Luxembourg (jusqu'au 16/01, je vous la recommande.

 

Voici les quelques mots de l'auteur qui donnent envie d'en savoir plus :

"Raconter Vivian Maier, c’est raconter la vie d’une invisible, d’une effacée. Une nurse, une bonne d’enfants. Une photographe de génie qui n’a pas vu la plupart de ses propres photos. Une Américaine d’origine française, arpenteuse inlassable des rues de New York et de Chicago, nostalgique de ses années d’enfance heureuse dans la verte vallée des Hautes-Alpes où elle a rêvé de s’ancrer et de trouver une famille. Son œuvre, pleine d’humanité et d’attention envers les démunis, les perdants du rêve américain, a été retrouvée par hasard – une histoire digne des meilleurs romans – dans des cartons oubliés au fond d’un garde-meubles de la banlieue de Chicago. Vivian Maier venait alors de décéder, à quatre-vingt-trois ans, dans le plus grand anonymat. Elle n’aura pas connu la célébrité, ni l’engouement planétaire qui accompagne aujourd’hui son travail d’artiste. Une vie de solitude, de pauvreté, de lourds secrets familiaux et d’épreuves ; une personnalité complexe et parfois déroutante, un destin qui s’écrit entre la France et l’Amérique. L’histoire d’une femme libre, d’une perdante magnifique, qui a choisi de vivre les yeux grands ouverts. Je vais vous dire cette vie-là, et aussi tout ce qui me relie à elle, dans une troublante correspondance ressentie avec mon travail d’écrivain." 

 

 

Quel destin que celui de Vivian Maier et quel talent surtout ! Voici un livre que je n'ai pas lâché une seconde tellement la vie de cette femme a été mouvementée et pleine de rebondissements. Le livre aborde largement sa condition de femme, de nounou dans une société qui ne soucie guère de ces marginaux.

 

 

L'écriture de Gaëlle Josse est très délicate et belle, c'est un vrai plaisir de lecteur à chaque page et c'est quelque chose qui mérite d'être souligné. Lisez le sans hésitation.

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L'art de perdre (2017 - Alice Zeniter)

Trouvé dans la boîte à livres de mon quartier, j'ai fini il y a quelques semaines ce livre qui avait obtenu le prix Goncourt des lycéens en 2017 et qui m'a entretenu pendant 500 pages que je ne suis pas parvenu à lâcher jusqu'au bout.

 

Le piste : L’Algérie dont est originaire sa famille n’a longtemps été pour Naïma qu’une toile de fond sans grand intérêt. Pourtant, dans une société française traversée par les questions identitaires, tout semble vouloir la renvoyer à ses origines. Mais quel lien pourrait-elle avoir avec une histoire familiale qui jamais ne lui a été racontée ?
Son grand-père Ali, un montagnard kabyle, est mort avant qu’elle ait pu lui demander pourquoi l’Histoire avait fait de lui un « harki ». Yema, sa grand-mère, pourrait peut-être répondre mais pas dans une langue que Naïma comprenne. Quant à Hamid, son père, arrivé en France à l’été 1962 dans les camps de transit hâtivement mis en place, il ne parle plus de l’Algérie de son enfance. Comment faire ressurgir un pays du silence ?

 

Il y avait bien longtemps que je n'avais pas été aussi passionné par un roman et celui-ci est bien plus que cela, une saga familiale sur plusieurs générations entre l'Algérie et la France. On en apprends beaucoup sur ces algériens au lourd passé, sur la douleur que représente le fait de ne se sentir chez soi nulle part. La puissance de ce livre est qu'il est transposable à d'autres familles d'immigrés quelque soit leur nationalité.

 

Le poids des traditions familiales, l'intégration dans un pays qui n'est pas le sien et dont on ne parle pas la langue. Cela m'a évidemment rappelé l'histoire de mes parents. Alice Zeniter a un talent d'écriture indéniable et a su capter toute mon attention avec des moments durs contrebalancés par des purs moments de joie. Les personnages sont très attachants et on se surprend à partager leurs émotions et à vivre toutes les étapes marquantes de leur vie avec beaucoup d'intérêt.

 

 

Un Grand livre que je recommande à tous.

 

Je vous laisse un lien vers une interview de l'auteure qui parle très bien de son livre et de ses motivations.

 

 

 

Une interview d'Alice Zeniter à l'occasion de la sortie de son livre L'art de perdre

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Dune (1965 - Frank Herbert)

Chaque été, j'ai à coeur de lire un classique de la littérature et en 2021, je souhaitais absolument lire le monument de Frank Herbert avant la sortie du film de Denis Villeneuve. Il s'agit ici du tome 1 du cycle de Dune constitué de six ouvrages. récompensé un an après sa sortie par les deux prix les plus prestigieux de la science-fiction le Hugo et le Nebula, j'avais hâte de me plonger dans les 900 pages du livre.

 

Le pitch : Il n'y a pas, dans tout l'Empire, de planète plus inhospitalière que Dune. Partout des sables à perte de vue. Une seule richesse : l'épice de longue vie, née du désert, et que tout l'univers achète à n'importe quel prix. Richesse très convoitée : quand Leto Atréides reçoit Dune en fief, il flaire le piège. Il aura besoin des guerriers Fremen qui, réfugiés au fond du désert, se sont adaptés à une vie très dure en préservant leur liberté, leurs coutumes et leur foi mystique. Ils rêvent du prophète qui proclamera la guerre sainte et qui, à la tête des commandos de la mort, changera le cours de l'histoire. Cependant les Révérendes Mères du Bene Gesserit poursuivent leur programme millénaire de sélection génétique ; elles veulent créer un homme qui concrétisera tous les dons latents de l'espèce. Tout est fécond dans ce programme, y compris ses défaillances. Le Messie des Fremen est-il déjà né dans l'Empire ?

 

J'ai été transporté par ce livre et par l'histoire de la famille Atréides au sein de cette planète inhospitalière d'un point de vue du climat et des différentes menaces venues des hommes. L'histoire est cruellement d'actualité car Frank Herbert y parle de dérèglement climatique, de complots politiques, de génétique. Il y a beaucoup de souffle romanesque et l'on attache assez vite aux personnages.

 

L'univers est riche et foisonnant. Le héros Paul Atréides fait office de messie, ce qui pourrait en faire un personnage classique et mille fois vu mais il n'en est rien. Herbert à la manière d'un Tolkien a réussi le pari d'inventer tout un univers avec sa propre langue et son vocabulaire qui fait l'objet d'un lexique très à propos.

 

Une très belle lecture pour ma part dont j'ai hâte de découvrir la suite.

 

Très prochainement je vous parlerai du film sorti cette année.

 

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Préférence système d'Ugo Bienvenu (2019 - Editions Denoël Graphic)

Voici une BD qui sort du lot des nombreux titres qui sortent chaque semaine sur les rayons de nos librairies. C'est pour moi la découverte d'un auteur de talent qui n'en est pas à sa première oeuvre d'anticipation et qui confirme ici tous les espoirs placés en lui.

 

L'histoire : En l’an 2055, Yves Mathon enterre son père. Il est affligé comme le reste de la famille, mais soutenu par sa femme, enceinte par procuration. En effet, c’est leur robot Mikki qui porte leur bébé pendant les 9 mois nécessaires à la gestation. Le lendemain, Yves retourne au boulot : il est la cheville ouvrière d’une société d’avocats chargée de supprimer des datas de l’humanité. En effet, à cette époque, la mémoire mondiale est arrivée à saturation de ses capacités ! Pour permettre aux gens de pouvoir accumuler leurs données numériques, il est donc nécessaire de faire de la place en supprimant ce qui n’est plus nécessaire – c’est-à-dire ce qui ne fait plus d’audience. Ce jour-là, il soumet aux juges la suppression d’un vieux film oublié, 2001, l’odyssée de l’espace et de tous ses fichiers afférents. Son taux de consultation est de 0,0000012%, ce qui ne plaide pas en faveur de sa conservation. Malgré la courte plaidoirie d’Yves, la juge insensible fixe une date de destruction. Yves s’exécute… mais il ne peut s’empêcher de faire une copie des fichiers en amont, sur une clé autonome, car il est sensible au potentiel culturel de cette œuvre. Or ce genre de copie constitue un délit grave. Deux robots inspecteurs enquêtent d’ailleurs au sein de sa société pour trouver le clandestin qui fait des sauvegardes des fichiers condamnés. Yves planque ensuite les datas au sein de Mikki, qu’il a trafiqué pour que ce soit indécelable…

 

 

J'ai beaucoup apprécié cette histoire qui aborde des sujets qui occupent déjà notre présent, à savoir la gestion des données, une sorte de censure des oeuvres artistiques, l'intelligence artificielle. Je trouve en plus qu'ego fait preuve d'une belle audace en imaginant que les robots puissent porter le bébé des humains. Tout ça est traiter sous forme de thriller et on se retrouve totalement happé par l'histoire. Une belle découverte assurément.

 

 

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Voyage au bout de la nuit (1932 - Louis Ferdinand Céline)

Dernier livre du cercle de lecture que je forme avec quelques amis ex-collègues de travail, Voyage au bout de la nuit est un véritable monument de la littérature classique française et j'avais hâte de découvrir cet ouvrage dont j'entends parler depuis très longtemps.

 

 

Le pitch : Voyage au bout de la nuit est un récit à la première personne dans lequel le personnage principal raconte son expérience de la Première Guerre mondiale, du colonialisme en Afrique, des États-Unis de l'entre-deux guerres et de la condition sociale en général.

 

Voici un récit dont on ne ressort pas indemne car il est très noir et pessimiste de bout en bout. Le personnage principal va découvrir tout au long de sa vie la misère humaine, sociale et psychologique quelque soit l'endroit où il va. Bardamu comme l'humanité traverse l'existence (d'où le voyage du titre) vers une issue sans espoir (le bout de la nuit).

Il s'agit du premier roman de Céline et je dois dire que d'un point de vue du style, c'est très innovant pour l'époque de par son usage du language de rue et de l'argot. C'est très osé et choquant mais cela colle très bien aux personnages décrits dans le livre. Je n'ai pas éprouvé de plaisir à la lecture de cette histoire mais ne regrette pas du tout le choix du cercle de lecture.

 

 

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Tyler Cross : Miami (tome 3) de Fabien Nury et Brüno (2018 - Editions Dargaud)

Débutée en 2013, la série Tyler Cross suit son cours. Je vous avais déjà parlé des deux premiers volumes ici. Ce troisième volume est dans la même veine que les autres mais dans quels ennuis s'est de nouveau mis notre héros ?

 

Nous avions quitté un Tyler Cross fatigué mais libre après son évasion du centre pénitentiaire d'Angola. Nous le retrouvons fringuant et en chemisette à fleurs sous le soleil de Floride. Entraîné malgré lui par son avocat véreux, Tyler s'immerge dans le monde poisseux de la promotion immobilière. Et se concentre sur un objectif alléchant : un braquage de 700 000 dollars. Dans cette nouvelle affaire criminelle, Tyler Cross rencontre une alliée surprenante en la personne de Shirley Axelrod, apparemment normale, mais qui apprend vite. Très vite.

 

 

Je ne suis jamais déçu avec la série Tyler Cross. Cet opus est moins violent que les autres et fait la part belle aux multiples intrigues. On est vraiment dans du polar noir et le personnage principal nous montre vraiment sa part la plus sombre. Je compare souvent  cette série aux films de Tarantino et je dois dire que c'est tout à fait ça.

 

 

Je suis fan du style du dessinateur Brüno qui est reconnaissable dès la première case. Si vous aimez ce genre si codifié, je vous encourage à découvrir cette série très addictive.

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Algues vertes - L'histoire interdite d'Inès Léraud et Pierre Van Hove (2019 - Editions Delcourt)

Il y a des lectures que je qualifie de nécessaires et aujourd'hui je souhaite vous parler d'une bande dessinée qui s'inscrit dans cette veine.

 

L'histoire : Pas moins de 3 hommes et 40 animaux ont été retrouvés morts sur les plages bretonnes. L'identité du tueur est un secret de polichinelle : les algues vertes. Un demi-siècle de fabrique du silence raconté dans une enquête fleuve.Des échantillons qui disparaissent dans les laboratoires, des corps enterrés avant d'être autopsiés, des jeux d'influence, des pressions et un silence de plomb. L'intrigue a pour décor le littoral breton et elle se joue depuis des dizaines d'années. Inès Léraud et Pierre Van Hove proposent une enquête sans précédent, faisant intervenir lanceurs d'alerte, scientifiques, agriculteurs et politiques.

 

 

Ce qui frappe en premier lieu est l'incroyable travail d'investigation fait par la journaliste Inès Léraud car c'est une véritable enquête que l'on tient entre les mains. Le travail de recherche est impressionnant avec en annexes, des copies d'articles de journaux de l'époque, des reproductions de lettres envoyées par de nombreux lanceurs d'alertes, certaines réponses reçues des autorités..

 

 

L'enchaînement de tous ces évènements pas si lointains et dont j'avais vaguement entendu parler mais sans y faire trop attention m'a à la fois captivé et révolté car encore une fois, il est évident que les intérêts économiques sont passés au dessus des intérêts sanitaires.

 

 

Je ne parlerai pas ici du dessin que je n'apprécie pas particulièrement (Pierre Van Hove est illustrateur de presse) mais l'intérêt réside exclusivement dans le récit. A lire absolument.

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