Dimanche dernier, la journée a commencé par la victoire du serbe Novak Djokovic à l'open d'Australie face à Andy Murray. Cela constitue sa 6e victoire en grand chelem ce qui le place au même niveau que l'idole de ma jeunesse, l'allemand Boris Becker, même si je trouve ce dernier plus complet et plus spectaculaire à regarder car il faisait partie des purs attaquants. Novak établit un record car il est le 1er joueur de l'ère open à gagner 3 fois de suite l'open d'Australie. Chapeau car sa victoire en finale a été une démonstration de force et de maîtrise. Son prochain objectif est le seul tournoi majeur qui lui manque, à savoir Roland Garros mais il sera intéressant de le voir face à Nadal si toutefois ce dernier se remet de sa blessure. En tout cas, il est encore en route pour un possible grand chelem.

Dimanche soir c'était la finale du championnat du monde de handball qui se disputait à Barcelone. La première surprise a été de ne pas voir la France en finale, elle qui a dominé ce sport pendant 8 ans, voit sans doute la fin d'une période dorée et prospère. Le titre de champion du monde a été remportée par les espagnols, 8 ans après leur premier sacre en Tunisie. Rien d'étonnant à remporter ce titre à la maison mais c'est la manière qui a impressionné face au Danemark qui était donné comme favori, le score de 35-19 ressemble à une humiliation tant le vainqueur a maitrisé son sujet de bout en bout. Jamais ne s'était produit un tel écart en finale, Impressionant.

Mais le fait le plus marquant du week end est survenu samedi avec la victoire de Javier Martinez, un espagnol...jusque là rien d'anormal mais ce qui est stupéfiant et qui nous a tous surpris, c'est qu'il s'agit d'un titre de champion d'Europe en ......PATINAGE ARTISTIQUE !!!! Premier titre de l'Espagne en sport de glace. Sa prestation sur la musique de Zorro est impeccable de maitrise. Je vous laisse la video de sa performance.

Cet après midi j'ai essayé avec ma fiancée et mon frère, le dernier bar avant la fin du monde, un endroit conçu par une bande de geeks trentenaires pour les geeks de tous âges. Situé à côté du théatre du Chatelet, cette ancienne galerie d'art est devenue un bar où les fans de science fiction, bd, mangas, jeux videos et jeux de société peuvent passer un moment très agréable sans pour autant dépenser beaucoup d'argent.

Car contrairement à d'autres bars où se pratiquent des activités spécialisées, il n'y a pas de ticket d'entrée à payer car ici vous ne devez payer que ce que vous consommez. La carte est remplie de cocktails compris entre 8 et 10€ aux noms liés à la culture de l'endroit. Vous pourrez dégustez un fulguro-poing, un jedi ou un sith entre autres breuvages. Il est possible de manger pour prendre des forces car elles sont nécessaires pour enchainer les parties de jeux de société qui sont en libre service pour les clients. De même que les livres de SF ou les mangas qui sont dispos dans la bibliothèque.

Le lieu occupe 3 étages et couvre 500 m2. La salle principale est très réussie et ressemble à une vielle bibliothèque tout droit sortie d'Indiana Jones avec canapés et mobilier traditionnel pour pouvoir jouer. Au niveau -1 il y a une salle de type très futuriste avec neons bleus et écrans d'ordinateurs. Les toilettes de trouvent à cet étage et côté messieurs, des écrans sont installés au dessus des urinoirs. Enfin au niveau -2 il y a une salle à laquelle je n'ai pas pu accéder car elle n'ouvre qu'à 19h mais on y trouve un décor cyberpunk très "blade runner".

Il est très facile de faire des rencontres ludiques car les tables sont très rapprochées et s'incruster pour une partie de jeu avec des inconnus me semble accessible. Il y a également de nombreux objets dans des vitrines, des tableaux exposés aux murs et à la vente. Le fond musical puise dans la BO de starwars et des animes comme Ghost in the shell, entre autres. Des concerts et évènements comme des présentations de jeux y sont régulièrement organisés.

Je m'y suis senti comme un poisson dans l'eau et ai très envie d'y retourner. Je vous laisse quelques photos prises cet après midi, l'adresse et le lien vers leur site internet. foncez y, vous ne le regretterez pas...

Le dernier bar avant la fin du monde - 19 avenue Victoria - 75001 Paris (ouvert de 10h à 1h).

Mon dernier coup de coeur est assez atypique car il s'agit d'une bande dessinée mettant en scène son auteur, illustrateur d'ouvrages et grand amateur de bonne bouffe. Il n'y a donc pas d'unique histoire ici mais diverses histoires relatant ses expériences de la vie quotidienne, de ses voyages ou ses bons plans restos.

Guillaume Long poursuit sous forme de BD à prodiguer les nombreux conseils éclairés qu'il distille déjà sur son blog hébergé par le journal "Le Monde" et dont je vous laisse le lien ci-dessous.

J'ai adoré cette BD et ai surtout ri à chaque page car cette BD est éducative et drôle. On bénéficie de secrets et recettes qui peuvent faire la différence auprès de ses invités.

Parmi mes planches préférées, les dix commandements de la raclette que je vous laisse appréciez ci-dessous.

Cet ouvrage a tellement remporté de succès qu'un tome 2 est sorti en décembre dernier.

Il y a tout juste un an, le 20 janvier 2012 nous quittait une grande voix du jazz et de la soul, à l'age de 74 ans et après une carrière de près de 60 ans puisqu'elle commença à chanter à l'âge de 16 ans.

Sa voix exceptionnelle lui permit d'évoluer dans différents styles comme le jazz, la soul, et le rythme n' blues. Connue pour son interprétation de titres comme "At last", "Something's got a hold on me" et "tell mama", cette grande dame a souvent été comparée à juste titre à Nina Simone et Ella Fitzgerald.

Pour la petite histoire, en 2008 un biopic avait été tourné avec Beyonce dans le rôle de la chanteuse qui n'avait pas du tout plu à Etta qui n'avait pas manqué de lui faire savoir et avait donné lieu à un énorme clash.

Je vous laisse la video d'une interprétation live où l'on peut voir que le look était vraiment secondaire à cette époque contrairement à aujourd'hui, seule la voix importait et quelle voix !

Je sais que nous sommes déjà le 19 janvier mais j'ai encore le temps de vous parler de quelques films qui me semblent indispensables de voir en ce froid mois de janvier. Comme lors du mois précédent, ce sont 4 films qui attirent mon attention : 3 américains et un espagnol qui s'annonce comme une des sensations de 2013.

The master (de Paul Thomas Anderson avec Joaquin Phoenix, Philip Seymour Hoffman - durée : 2h17) : Freddie, un vétéran, revient en Californie après s’être battu dans le Pacifique. Alcoolique, il distille sa propre gnôle et contient difficilement la violence qu’il a en lui… Quand Freddie rencontre Lancaster Dodd – « le Maître », charismatique meneur d’un mouvement nommé la Cause, il tombe rapidement sous sa coupe... Sorti depuis le 09/01

Mon avis : 3 raisons d'aller voir ce film, la première c'est qu'il s'agit ici du retour de 2 grands du cinéma. Le réalisateur tout d'abord car je le considère comme le plus talentueux réalisateur américain depuis 15 ans, auteur de films comme "Boogie nights", "Magnolia", "Punch drunk love" ou son dernier "There will be blood". PTA a toujours su mettre en valeur ses comédiens dans des films choraux d'une très belle beauté visuelle. L'autre bonne raison est la présence après plus de 4 ans d'absence de l'un de mes 2 acteurs préférés en la personne de Joaquin Phoenix qui est nommé à l'oscar du meilleur acteur pour ce rôle. Enfin, pour l'histoire qui raconte en utilisant d'autres noms, le parcours de celui qui a créé l'église de scientologie.

Django Unchained (de Quentin Tarantino avec Jamie Foxx, Christoph Waltz, Leonardo Di Caprio, Samuel L Jackson et le ressucité Don Johnson - durée : 2h44) : Hans, un chasseur de primes allemand qui écume le Sud d’avant la guerre de Sécession, libère l’esclave Django, qui accepte de l’aider à attraper, morts ou vifs, les infâmes frères Brittle. Leur piste les mène jusqu’à l’immense plantation de Calvin Candie, dandy psychopathe et propriétaire de Broomhilda, l’épouse bien aimée que Django a juré de retrouver. Sorti le 16/01

Mon avis : Il était temps que Tarantino en fan inconditionnel du cinéma bis réalisent un western, genre qu'il adore. Beaucoup de critiques disent qu'il s'agit là de son meilleur film. Voir Di Caprio en abject méchant exploitant d'esclaves attise ma curiosité et puis la bande annonce nous fait penser à un film non dépourvu d'humour et de bonne musique comme à chque fois avec Quentin.

Blancanieves (de Pablo Berger avec Macarena Garcia, Mariel Verdu et Angela Molina - durée : 1h44) : Sud de l’Espagne, dans les années 20. Carmen est une belle jeune fille dont l’enfance a été hantée par une belle-mère acariâtre. Fuyant un passé dont elle n’a plus mémoire, Carmen va faire une rencontre insolite : une troupe ambulante de nains toreros qui va l’adopter et lui donner le surnom de "Blancanieves". C’est le début d’une aventure qui va conduire Carmen/Blancanieves vers elle-même, vers son passé, et surtout vers un destin à nul autre semblable… Sortie le 23/01

Mon avis : Le thème des contes de fées est très présent actuellemnt à la télévision et au cinéma mais des trois versions de Blancheneige sorties depuis un an au ciné, celle-ci s'annonce comme la plus belle au niveau de la forme et au niveau de sa mise en scène. Le film est muet et en noir et blanc, cela vous rappelle quelque chose ? Normal, la comparaison avec "The artist" est inévitable mais il s'agit là d'une toute autre histoire. Ce film est le grand favori des prochains Goya (les prix du cinéma espagnol) avec 18 nominations.J'attends sa sortie avec impatience.

Lincoln (de Steven Spielberg avec Daniel Day Lewis, Sally Field, Joseph Gordon Levitt, Tommy Lee Jones et James Spader - durée : 2h29) : Les derniers mois tumultueux du mandat du 16e Président des États-Unis. Dans une nation déchirée par la guerre civile et secouée par le vent du changement, Abraham Lincoln met tout en œuvre pour résoudre le conflit, unifier le pays et abolir l'esclavage. Cet homme doté d'une détermination et d'un courage moral exceptionnels va devoir faire des choix qui bouleverseront le destin des générations à venir.

Mon avis : 2 raisons essentielles et l'une d'elle n'est pas le réalisateur car Spielberg a une filmographie assez inégale. Non la raison principale est la présence de mon autre acteur que j'admire énormément (décidément quel mois de janvier !), l'immense Daniel Day Lewis (My left foot, Le dernier des mohicans, Le temps de l'innocence, Au nom du père, Gangs of New York, There will be blood,...) qui va aller chercher son 3e oscar le mois prochain à Hollywood. Si Joaquin Phoenix ne gagne pas l'oscar, je préfère autant que cela soit Daniel Day Lewis. L'autre raison est de voir le biopic de l'un des présidents américains les plus illustres de l'histoire qui mit fin à la guerre de sécession et à l'esclavage, rien que ça ! La bande annonce que j'ai vu à plusieurs reprises me donne à chaque fois des frissons.

J'espère pouvoir vous confirmer tout ça prochainement. En attendant, je vous laisse les belles bandes annonces.

En simplifiant énormément et en racourcissant nettement la durée, je dirai que nous avons là "le jeu d'échecs pour les nuls". Il s'agit de l'un des premiers jeux de ma ludothèque, acheté il y a plus d'un an en soldes à la Fnac. Il entre dans la catégorie des jeux abstraits de réflexion et se joue à deux joueurs pour des durées de parties pouvant atteindre 30mn.

Nous avons un plateau hexagonal avec des boules blanches face à des boules noires et le but est d'être le 1er à faire sortir du plateau 6 boules adverses. Comment me direz vous ? en déplaçant d'une case chacun notre tour une, deux ou trois boules alignées. Les mouvements se font en ligne (d'avant en arrière) ou latéralement (en respectant l'alignement des boules). Pour pouvoir pousser des boules adverses, il faut que vos boules soient majoritaires sur celles adverses que vous pousser. Ainsi 3 boules blanches peuvent pousser 2 ou 1 boule noire.

J'aime beaucoup ce jeu car il demande de l'anticipation et de la réflexion. La règle est simple et les parties sont assez rapides et fluides.

Petite astuce pour mémoriser les règles : Elle sont affichées de manière visuelle sur la boite. En Effet, si vous tourner la boite de 90°, vous pouvez voirle chiffre 3, le chiffre 2 et le mot "one".

Un classique que je recommande....

Pour l'achat de vos jeux de société, je vous recommande de les acheter sur le site http://www.ludifolie.com qui propose des prix défiant toute concurrence car en dessous des prix du marché. Son responsable, Eric est très professionnel et offre des remises de 5% lorsque vous venez retirer votre commande sur place, du côté de Vincennes.

Abalone est proposé au prix de 26,32€ ou 25€ sur place

Ce film faisait partie de mes films à voir de décembre et je n'ai pas été déçu car la bande annonce n'était pas trompeuse et j'ai retrouvé exactement ce à quoi je m'attendais.

Rappel du pitch du film : Fils d'un gardien de zoo de Pondicherry en Inde, le jeune prodige Pi Patel embarque avec sa famille à bord d'un gigantesque cargo vers le Canada. Après un effroyable naufrage, il se retrouve dans un radeau de survie, en compagnie... d'un orang-outang, d'un zèbre, d'une hyène et d'un tigre du Bengale.

Avant toute chose, je tiens à préciser, que je n'aime pas les films en 3D car je considère qu'il s'agit d'un gadget pûrement commercial qui n'apporte rien au film. Dans ce film, les images sont magnifiques, surtout les scènes se déroulant de nuit. La 3D n'est pas visible et ne passe absolument pas pour un artifice (donc était-elle vraiment utile ?). Les effets spéciaux sont réussis, je pense surtout à la scène de tempête qui est très impressionante à voir à l'écran.

J'ai beaucoup aimé ce qui se passe entre le début et la scène de naufrage car Ang Lee plante très bien le décor, présente bien ses personnages. Les doutes du héros sont très bien retranscrits, notamment vis à vis des différentes religions.

Ce qui est moins réussi c'est la seconde partie qui se situe après le naufrage et qui voit donc le jeune héros cohabiter avec un tigre du Bengale car le film subit alors quelques longueurs comparables à celles du film "Seul au monde" avec Tom Hanks. Le point commun entre ces deux films est la volonté du personnage de s'attacher à un compagnon dans le but de ne pas sombrer.

Au final, nous avons là un bon divertissement avec de splendides images mais quelques longueurs. Je le recommande tout de même pour passer un bon moment.

Je ne suis absolument pas un joueur de jeux videos mais s'il y a une chose dont je suis plus que convaincu c'est que de part leur réalisation, certains jeux se rapprochent qualitativement du cinéma. Et ce dernier, s'en inspire depuis de nombreuses années en adaptant de nombreux jeux à l'écran.

Et bien, il y a deux jours, une belle consécration a été faite à ce secteur puisque pour la première fois dans son histoire, une musique de jeu fait partie des nominés aux Grammy awards au meilleur score (musique instrumentale de film) au même titre que les musiques de films traditionnels. L'heureux élu est Austin Wintory, un jeune américain qui a composé le score du jeu JOURNEY sur PS3.

Il est nominé en compagnie de John Williams (Tintin), Ludovic Bource (The artist), Hans Zimmer (the dark knight rises), Trent Reznor & Atticus Ross (Millenium) et Howard Shore (Hugo Cabret), du beau monde !!!

Cela fait de nombreuses années que l'on sait que la musique de jeu video est de très belle qualité et s'édite en CD. S'il ne fallait citer qu'un précurseur dans ce domaine, je citerai le japonais Nobuo Uematsu, le compositeur des scores des jeux Final Fantasy. Désormais, ses musiques sont jouées par des orchestres symphoniques et sont dignes des plus grands compositeurs. Un concert a lieu ce week end au palais des Congrès.

Je vous laisse avec le thème "Apotheosis" de Austin Wintory et "To Zanarkand" Nobuo Uematsu (FF 10).

Ce soir je ne vais pas parler d'un jeu disponible mais d'un jeu dont j'entends parler depuis un an maintenant et qui a été révélé ce jour par la maison d'édition Cocktail Games. Il s'agit de la suite du formidable "L'île interdite" dont j'ai rédigé un billet sur ce blog.

L'histoire : Une partie de l’équipe d’aventuriers de l’Ile interdite (l’archéologue, l’explorateur…), est renvoyée en mission et vous y prenez part. Hélas, une fois au-dessus du désert, une violente tempête de sable vous force à faire un atterrissage en catastrophe. L’hélicoptère s’en trouve irrémédiablement endommagé. En perdition dans ce désert suffocant, votre seule chance de survivre est de retrouver une machine volante légendaire au milieu des ruines d’une cité ensablée.

Dans ce jeu 100% coopératif, accordez-vous avec vos coéquipiers pour faire les meilleurs choix et tirer parti des capacités de chacun si vous espérez échapper à la chaleur et à l’insatiable tempête de sable. La porteuse d’eau, l’alpiniste, la météorologue : chacun a en effet ses propres façons de contrer l’ensablement et la soif…

Le jeu est plus complexe que son prédécesseur et offre plus de place à la stratégie. De plus, on pourra jouer à 5 ! et la durée s'en trouvera prolongée de 15mn, ce qui n'est pas pour me déplaire.

Je vous laisse quelques photos du matériel et la bande annonce officielle du jeu.

La sortie est prévue au printemps 2013....vite !!!!!

Lundi dernier, l'argentin Lionel Messi a gagné son 4e ballon d'or, j'ai presque envie de dire "comme prévu" et sans surprise car son règne sur la planète foot est incontestable à l'heure actuelle. Je n'irai pas jusqu'à dire que nous avons là le meilleur joueur de tous les temps car je n'ai jamais aimé comparer les époques. Ce qui est clair c'est qu'en terme de statistiques et de technique, il affole les compteurs depuis 3 ans et ne cesse de battre des records individuels. Dans le rétro il peut voir Cruyff, Platini et Van Basten mais devant lui se trouvent encore Maradona et le roi Pelé car ces deux joueurs ont gagné la coupe du Monde (3 pour Pelé) et c'est ce qu'il manque au petit génie argentin qui n'a bien sûr que 25 ans.

Cette cérémonie du 07 janvier a récompensé le football espagnol qui en 2012 a marqué les esprits en gagnant l'Euro de foot à l'issue d'une finale de rêve face à l'Italie. L'équipe d'Espagne peu brillante jusqu'en finale à joué un football total face aux Italiens complètement débordés face à une telle maîtrise collective. Derrière les grandes équipes, il y a toujours un grand entraîneur et Vicente Del Bosque a été justement récompensé et le mérite est grand car les autres finalistes étaient Pep Guardiola et José Mourinho, excusez du peu.

Le petit milieu de terrain de la seleccion Andres Iniesta a fini 3e meilleur joueur du monde derrière Messi et ronaldo, et c'est également amplement mérité tellement ce joueur a la classe Mondiale.

Enfin, l'équipe type de la FIFA est entièrement composée de joueurs évoluant dans la Liga. Là je suis moins convaincu car je pense qu'en Angleterre, Italie et Allemagne il y a également d'immenses joueurs qui auraient mérité d'y être. Je pense à Van Persie, Rooney, Pirlo, Müller....mais je suis malgré tout satisfait de voir que l'on retrouve 6 espagnols dans cette équipe.