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expositions

33e compétition des figurines historiques (92310 - Sèvres)

33e compétition des figurines historiques (92310 - Sèvres)

Les 16 et 17 novembre dernier s'est tenu la 33e édition des figurines historiques au SEL, dans ma petite ville de Sèvres, en banlieue sud ouest de Paris. Il s'agit d'un évènement pour tous les passionnés d'histoire, de bande dessinée, de comics, d'héroïc fantasy mais surtout pour tous ceux qui ont la patience de passer des heures à peindre, à créer ou reconstituer des décors, des tableaux célèbres.

Ce concours réunit de nombreux professionnels (exposants de matériels et artistes) mais est également ouvert aux amateurs. Si plusieurs catégories sont en compétition, la qualité des oeuvres est assez homogène entre les très jeunes et les catégories intermédiaires. Ceux que l'on appelle les Masters sont eux très nettement au dessus du lot.

La plupart des pièces (800 au total) sont des bustes ou des figurines de plein pied. On trouve également ce que l'on appelle des plats d'étain qui sont des formes en relief encadrées sous verre ou encore des dioramas qui sont des représentations de scènes avec personnages et décors. Ces derniers sont vraiment très beaux.

Cette activité permet d'unir plusieurs passions, l'histoire car de nombreuses figurines sont des représentations de personnages historiques ou reconstitution de batailles célèbres. Le comics et la bande dessinée sont également bien représentés ainsi que l'héroïc fantasy.

Un autre concours de ce type a lieu à Montrouge, toujours dans les Hauts de Seine en avril.

Ci-dessous un aperçu des nombreuses oeuvres présentes cette année.

Le Gladiator le plus célèbre du cinéma

Le Gladiator le plus célèbre du cinéma

Les amateurs de BD de qualité auront reconnu Natalia Wilford, la chatte comédienne de "Blacksad"

Les amateurs de BD de qualité auront reconnu Natalia Wilford, la chatte comédienne de "Blacksad"

Le Diorama gagnant de cette édition 2013

Le Diorama gagnant de cette édition 2013

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Désirs et volupté à l'époque victorienne (Musée Jacquemart - André / Paris)

Désirs et volupté à l'époque victorienne (Musée Jacquemart - André / Paris)

Le mois de septembre est aussi le démarrage de la nouvelle saison des expositions parisiennes 2013-2014 qui je l'espère sera d'une aussi bonne qualité que celle que nous venons de vivre avec les expos d'Hopper, Dali et "L'ange du Bizarre".

La nouvelle saison démarre plutôt bien puisque le week end dernier je suis allé voir "Désirs et volupté à l'époque victorienne" une magnifique expo peinture qui m'a permit de faire d'une pierre deux coups : Découvrir le très beau musée Jacquemart-André et voir cette expo qui je suis sûr, sera une réussite car elle est en tous points magnifique.

Quelques mots sur le musée, aménagé dans un hôtel particulier datant du XIXe siècle et qui appartenait à un couple de bourgeois amateurs d'art et de voyage. Il est possible de visiter les salons et les appartements où se trouvent de magnifiques oeuvres et objets achetés durant leur voyage. Mention spécial au jardin d'hiver et son escalier monumental qui mérite vraiment le coup d'oeil.

L'expo permet de découvrir des artistes britanniques tels que Lawrence Alma-Tadema, Frederic Leighton, Albert Joseph Moore, John Williams Waterhouse qui étaient les porte drapeaux de la peinture anglaise au XIXe siècle. Les oeuvres présentées sont issues d'une collection privée de Perez simon et sont des témoignages d'une époque révolue. Celle d'une Angleterre sous le règne de la Reine Victoria et 1ère puissance mondiale, puritaine et chaste. C'est pendant cette période entre 1830 et 1920 que des peintres ont célébré la beauté féminine, à travers le nu des corps, les poses lascives, la passion, le désir et la volupté.

Les oeuvres sont très colorées et d'une beauté absolues. Un conseil, allez y sans hésiter car je suis prêt à parier que cette expo va attirer énormément de monde et cela sera largement mérité.

Exposition "Désirs et volupté à l'époque victorienne" du 13 septembre au 20 janvier

Musée Jacquemart-André, 158 boulevard Haussmann (Paris 8e)

"Les roses d'Héliogabale" (1888) de Lawrence Alma-Tadema, derrière la beauté apparente se cache une scène d'une grande cruauté.

"Les roses d'Héliogabale" (1888) de Lawrence Alma-Tadema, derrière la beauté apparente se cache une scène d'une grande cruauté.

"Le quatuor" (1868) d'Albert Joseph Moore, une de mes toiles préférées car elle déborde de sensualité

"Le quatuor" (1868) d'Albert Joseph Moore, une de mes toiles préférées car elle déborde de sensualité

"La joueuse de saz" (1903) de William Clarke Wontner, femme au visage d'une incroyable beauté

"La joueuse de saz" (1903) de William Clarke Wontner, femme au visage d'une incroyable beauté

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L'ange du bizarre : La romantisme noir de Goya à Max Ernst (Musée D'Orsay - Paris)

L'ange du bizarre : La romantisme noir de Goya à Max Ernst (Musée D'Orsay - Paris)

Le musée d'Orsay monte très régulièrement des expositions aux thématiques originales et "L'ange du bizarre" fait partie de celles là. Elle a eu un tel succès qu'elle a été prolongée de la même manière que celle d'Hopper et Dali.

Les oeuvres de cette expo sont issues d'un mouvement né à la fin du 18e siècle en Angleterre via la littérature, le roman gothique, le macabre, les ténèbres et les puissances du mal.

Fascinante est l'adjectif qui me vient en tête à la vue de toutes ces visions d'artistes aussi différents que Goya, Füssli, Delacroix, Hugo, Shakespeare, Murnau, Buñuel, Poe, Rodin et même Victor Hugo duquel on peut admirer des dessins.

Ce qui m'a beaucoup plu dans cette collection est la retranscription à travers divers arts tels que la peinture, la sculpture, la littérature et le cinéma. On peut effectivement revoir ou découvrir des extraits de films des années 20 à 60, l'école britannique des studios Hammer (Dracula, Frankenstein,..), le cinéma impressionniste allemand de Murnau ou encore la vague surréalisme avec Luis Buñuel.

Extrait de la présentation : "A partir des années 1880, constatant la vanité et l'ambiguïté de la notion de progrès, maints artistes reprennent l'héritage du romantisme noir en se tournant vers l'occulte, en ranimant les mythes et en exploitant les découvertes sur le rêve, pour confronter l'homme à ses terreurs et à ses contradictions : la sauvagerie et la perversité cachée en tout être humain, le risque de dégénérescence collective, l'étrangeté angoissante du quotidien révélée par les contes fantastiques de Poe ou de Barbey d'Aurévilly. En pleine seconde révolution industrielle ressurgissent ainsi les hordes de sorcières, squelettes ricanants, démons informes, Satans lubriques, magiciennes fatales… qui traduisent un désenchantement provocant et festif envers le présent. Lorsqu'au lendemain de la Première guerre mondiale, les surréalistes font de l'inconscient, du rêve et de l'ivresse les fondements de la création artistique, ils parachèvent le triomphe de l'imaginaire sur le principe de réalité, et ainsi, l'esprit même du romantisme noir. Au même moment, le cinéma s'empare deFrankenstein, de Faust et des autres chefs-d'oeuvre du romantisme noir qui s'installe définitivement dans l'imaginaire collectif."

Au total, pas loin de 200 oeuvres ont été exposées et très bien mises en valeur autour d'un sujet qui n'est pas grand public mais qui moi m'a fasciné.

Le cauchemard de Füssli

Le cauchemard de Füssli

Le Pandemonium de John Martin

Le Pandemonium de John Martin

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Choco-Story le musée gourmand du chocolat (Paris 10e)

Choco-Story le musée gourmand du chocolat (Paris 10e)

Le musée du chocolat fait partie de ces musées insolites comme le musée de la magie et d'autres où l'on peut passer un agréable moment et voir autre chose que des tableaux de grands maîtres.

Choco-Story se situe à la sortie du métro Bonne nouvelle et offre une expérience tout en douceur. Nous avons été accueillis avec 3 chocolats (noir, au lait et blanc), nous sommes ensuite entré dans une première salle ressemblant à la forêt amazonienne avec des reproductions de végétation comme si on y étais. 4000 ans d'histoire nous sont contés afin de nous faire découvrir tous les secrets du cacao ingrédient de base de ce que l'on connais comme le chocolat. De la récolte à la fabrication et à la distribution, toutes les étapes sont décrites. La première partie est dédiée à l'époque maya et aztèque. On y apprend par exemple que les fèves de cacao étaient utilisés comme monnaie d'échange.

La 2e partie du musée fait la transition entre les Amériques et l'Europe car c'est au début du 16e siècle que le cacao a été introduit en Europe par Hernando Cortes. On apprend que Christophe Colomb a été le premier européen à goûter le chocolat chaud. A l'étage on peut admirer divers ustensiles, les chocolatières et autres instruments employés dans les salons de thé au 18e siècle. La partie que j'ai préféré est celle ou l'on peut voir les affiches publicitaires, les emballages de chocolat en tablette et en poudre.

La 3e partie consiste en une démo de patissier qui réalise devant nous des chocolats fourrés au praliné avec dégustation en prime bien sûr. La sortie nous amène vers la boutique et si vous avez eu la bonne idée de prendre une entrée avec chocolat chaud, vous aurez la chance de goûter à l'une des 5 boissons proposées (je vous recommande l'aztèque délicieuse avec des épices). Et avant de partir on vous offre de nouveau un petit chocolat.

Si vous y allez avec des enfants, des ateliers de cuisine sont proposés.

Vraiment une bonne découverte à faire pour tous les gourmands, petits et grands.

1ère partie du musée : Epoque Maya et Aztèque

1ère partie du musée : Epoque Maya et Aztèque

Ma partie préférée avec les affiches d'époque

Ma partie préférée avec les affiches d'époque

Un atelier pour les enfants qui pourront repartir avec les chocolats qu'ils auront confectionné

Un atelier pour les enfants qui pourront repartir avec les chocolats qu'ils auront confectionné

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Expo Dali (Centre Pompidou - Paris)

Expo Dali (Centre Pompidou - Paris)

Deuxième grande exposition parisienne après la merveille que fut celle d' Hopper, l'expo Dali s'achève aujourd'hui après 4 mois de présence au 6e étage du centre George Pompidou et plus de 800 000 visiteurs. Depuis vendredi l'expo a été ouverte sans interruption, preuve de son succès amplement mérité au vu de la richesse des 200 oeuvres exposées.

Salvador Dali (1904-1989) a été un génie du surréalisme et si l'on se souvient de lui pour ses peintures, il a exprimé sa créativité dans le cinéma, la publicité, la poésie, le design, il s'est intéressé à la science et à l'atome. En effet l'auteur de "La persistance de la mémoire" a fréquenté des artistes tels que l'écrivain Gabriel Garcia Lorca et les cinéastes Luis Buñuel (Un chien andalou et l'âge d'or sont des perles du surréalisme), Alfred Hitchcock et Walt Disney.

L'expo fait la part belle à ses peintures les plus célèbres, ses croquis, certains objets qu'il a créé et parmi lesquels on peut citer la veste peppermint, le téléphone homard ou bien encore le canapé bouche (présent dans une salle du musée, les plus patients pouvaient se prendre en photo.

Les obsessions de Dali sont présentes dans la plupart de ces oeuvres : sexe, religion, le cheval, et bien évidemment sa muse Gala qu'il épouse en 1934 et qu'il représentera dans plusieurs de ces tableaux. Dali s'est intéressé et a réinterprété des oeuvres du passé telles que "L'angélus" de Millet, "La dentellière" de Vermeer ou bien "Le narcisse" de Caravage.

Des 3 expos faites dernièrement, celle-ci a été la plus éprouvante de toutes, la faute à l'organisation qui n'était pas à la hauteur d'une telle exposition. En effet, il nous a fallut attendre environ 1h30 avant de pénétrer dans la 1ère salle et ceci même muni de billets. Résultat : arrivés à 10h30, nous sommes sortis à 14h30, les jambes et le dos en compote. Une meilleur régulation du flux aurait été apprécié. Malgré cela, cette exposition a valut le détour pour tout admirateur du Maître.

La persistance de la mémoire ou les fameuses montres molles de Dali

La persistance de la mémoire ou les fameuses montres molles de Dali

Réinterprétation de "L'Angelus" de Millet par le Maître catalan

Réinterprétation de "L'Angelus" de Millet par le Maître catalan

"Nu du crâne" composition originale de Dali

"Nu du crâne" composition originale de Dali

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Exposition "Hiroshige : L'art du voyage" (Pinacothèque de Paris)

Exposition "Hiroshige : L'art du voyage" (Pinacothèque de Paris)

Dimanche, il faisait très beau sur Paris et l'envie de sortie était grande, direction le voyage mais pas n'importe lequel. Un voyage le long de la Tökaido, la route de pélerinage et de tourisme reliant Kyoto à Edo (l'ancien nom de Tokyo). Ce voyage je l'ai fait en me plongeant dans l'oeuvre du dessinateur et peintre japonais Utagawa Hiroshige (1797- 1858), qui bénéficie de sa première expo en France car bien moins connu que Hokusai mais qui est considéré comme une influence forte pour les impressionnistes, notamment pour Van Gogh qui fait l'objet de l'expo "Rêves de Japon".

Ces deux artistes ont été les spécialistes de l'estampe japonaise que l'on appelle ukiyo-e qui signifie littéralement "images du monde flottant et éphémère". L'exposition se focalise sur 3 séries qui ont fait la renommée du peintre : "Huit vues de la province de l'est", "53 étapes de la Tökaido" et "69 étapes de la Kisokaidö".

A travers ses oeuvres, Hiroshige nous transporte dans le Japon du 19e siècle le long de cette fameuse route, jalonnée de villages, auberges, sources chaudes, temples. Les paysages enneigés sont de toute beauté, tout comme les cerisiers, le ciel avec lumières crépusculaires, les bleus sont très réussis également.

Si vous aimez le thème du voyage, le Japon, je ne saurai trop vous conseiller d'aller voir cette expo qui se tient jusqu'au 17 mars prochain à la Pinacothèque de Paris. Vous ne le regretterez pas et ressortirez de là apaisé.

P.S : L'oeuvre d'Hiroshige a inspiré l'auteur de jeu de société Antoine Bauza qui a publié en octobre 2012 un superbe jeux retraçant le parcours du Tökaido et ses 53 étapes, mais cela fera l'objet d'un autre billet.

Montagnes et eau le long de la Kisokaidö

Montagnes et eau le long de la Kisokaidö

Les bleus sont magnifiques dans les oeuvres d'Hiroshige

Les bleus sont magnifiques dans les oeuvres d'Hiroshige

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Exposition Edward Hopper (Grand Palais)

Exposition Edward Hopper (Grand Palais)

Aujourd'hui c'était le dernier jour de l'expo Hopper et je dois dire que j'ai eu la chance d'être l'un des heureux élus à pouvoir dégoter une entrée pour l'expo ayant remporté le plus de succès depuis celle de Monnet en 2011. Un succès tellement grand que l'évènement a été prolongé de 3 jours pour un marathon de 62h d'ouverture non stop du vendredi 1er 9h à aujourd'hui 23h.

Et ce succès est pour ma part amplement justifié et mérité tellement cette expo riche de 128 oeuvres de l'artiste, en plus d'être très bien organisée au niveau logistique, est magnifique. La 1ère retrospective du peintre américain à Paris, est découpée en 4 époques de sa vie : Les années de formation à la New York school of art, les années durant lesquelles Hopper séjourne à Paris (1906 à 1910) et s'imprègne de la vie parisienne, la poésie, le cinéma. Ensuite une partie de l'expo est dédiée à son époque d'illustrateur de presse (jusqu'en 1925) et enfin la dernière partie est consacrée à sa période américaine, la plus connue.

L'organisateur de l'expo, Didier Ottinger a eu la bonne idée d'insérer au milieu des tableaux de Hopper, des oeuvres d'artistes qui l'ont fortement inspiré comme Thomas Eakins, Félix Valloton ou Edgard Degas entre autres. Une partie de l'expo est dédiée aux gravures dont certaines sont vraiment splendides, je pense à "Deux pigeons" en particulier.

On retrouve plusieurs thèmes chers à Hopper dans la plupart de ces oeuvres : la solitude, l'attente, le spectacle, le couple et surtout la lumière que l'américain n'a cessé de vouloir maîtriser au même titre que les peintres impressionistes qu'il admirait tant.

La dernière étape et dernière salle présente les oeuvres les plus connues de l'auteur qui correspondent à son étape américaine qui voit Hopper représenter des paysages urbains et ruraux, des scènes de la vie quotidienne se déroulant à la maison, au travail ou dans des chambres d'hotels. La vision de ces toiles fait naître une nostalgie qui nous rappelle ces vieux films américains des années 50-60 avec par exemple, des stations essence, des bars ou encore des maisons au style victorien comme dans "House by the railroad" qui a inspiré à sir Alfred Hitchcock, la maison de Psychose.

La dernière toile de l'expo se nomme "Two comedians" et est la dernière toile peinte par Hopper deux ans avant sa mort et se veut un auto-portrait du peintre et de son épouse "Jo" qui saluent une dernière fois le public, comme pour tirer leur révérence.

Je suis resté près de 3h au grand palais pour ce qui constitue à mes yeux l'une des plus belles expositions que j'ai vue depuis bien longtemps.....

Soir bleu (1914) : La dernière toile qu'Hopper peint avant son retour aux Etats Unis

Soir bleu (1914) : La dernière toile qu'Hopper peint avant son retour aux Etats Unis

Deux pigeons (1920) : Une des nombreuses gravures magnifiques de l'expo

Deux pigeons (1920) : Une des nombreuses gravures magnifiques de l'expo

House by the railroad (1925) : Cette maison a inspiré Alfred Hitchcock pour son film Psychose

House by the railroad (1925) : Cette maison a inspiré Alfred Hitchcock pour son film Psychose

Ground swell (1939) : Une peinture magnifique et qui sort des thématiques habituelles d'Hopper

Ground swell (1939) : Une peinture magnifique et qui sort des thématiques habituelles d'Hopper

Two comedians (1966) : Une révérence au public et à l'existence ?

Two comedians (1966) : Une révérence au public et à l'existence ?

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Foire Internationale de Grenoble (suite)

Foire Internationale de Grenoble (suite)

Mon ami Miguel qui a visiblement flashé sur la chaise "fesses", souhaite en voir plus au sujet de la foire Internationale de Grenoble, donc c'est avec grand plaisir que je vous présente d'autres objets insolites vus cette soirée là.

A commencer par cet aquarium au format "cadre" que personnellement je trouve très beau. Ce n'est pas le cas de ce canapé appelé "Ambiance soleil Annecy" en forme de bouche et très profond. En effet, même calé au fond, les pieds ne dépassent pas du canapé.

L'autre curiosité était ce salon entièrement constitué de meubles en jean, comme ce fauteuil et la lampe qui se trouve derrière.

Enfin, un service de table a attiré mon attention, car des visages étaient sculptés sur des verres à pied, effrayant !!!

Un canapé un peu encombrant mais surtout très profond !

Un canapé un peu encombrant mais surtout très profond !

Meubles en jean, pratique ces poches !

Meubles en jean, pratique ces poches !

Une vaisselle effrayante !

Une vaisselle effrayante !

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Foire Internationale de Grenoble 2012

Foire Internationale de Grenoble 2012

Je sors de la Foire Internationale de Grenoble qui cette année se focalise sur le thème du bonheur. Il s'agit d'un salon que l'on peut comparer à la foire de Paris à échelle inférieure.

Environ 400 exposants dans des domaines variés : meubles (salons, literie), piscines, aquariums, tondeuses à gazon, vêtements, tables de billard, instruments de musique, spécialités culinaires provenant de différentes régions, il y a même quelques animaux (lapins, poules, dindons,...).

Des objets insolites, comme cette chaise qui semble avoir été moulée sur les fesses d'une femme, d'autres vraiment pratiques comme cette table ronde et le banc circulaire associé, un meuble avec des chaussures à talons,...etc.

J'avoue que le lien avec le bonheur n'est pas évident à faire mais cela permet de passer un agréable moment. Elle se déroule du 1er au 11novembre et l'entrée est à 5€. Je vous laisse ci-dessous quelques photos.

Belle paire de fesses !

Belle paire de fesses !

Très convivial !

Très convivial !

Une table de nuit bien apprêtée !

Une table de nuit bien apprêtée !

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