EmiBlog

Le musée d'Orsay monte très régulièrement des expositions aux thématiques originales et "L'ange du bizarre" fait partie de celles là. Elle a eu un tel succès qu'elle a été prolongée de la même manière que celle d'Hopper et Dali.

Les oeuvres de cette expo sont issues d'un mouvement né à la fin du 18e siècle en Angleterre via la littérature, le roman gothique, le macabre, les ténèbres et les puissances du mal.

Fascinante est l'adjectif qui me vient en tête à la vue de toutes ces visions d'artistes aussi différents que Goya, Füssli, Delacroix, Hugo, Shakespeare, Murnau, Buñuel, Poe, Rodin et même Victor Hugo duquel on peut admirer des dessins.

Ce qui m'a beaucoup plu dans cette collection est la retranscription à travers divers arts tels que la peinture, la sculpture, la littérature et le cinéma. On peut effectivement revoir ou découvrir des extraits de films des années 20 à 60, l'école britannique des studios Hammer (Dracula, Frankenstein,..), le cinéma impressionniste allemand de Murnau ou encore la vague surréalisme avec Luis Buñuel.

Extrait de la présentation : "A partir des années 1880, constatant la vanité et l'ambiguïté de la notion de progrès, maints artistes reprennent l'héritage du romantisme noir en se tournant vers l'occulte, en ranimant les mythes et en exploitant les découvertes sur le rêve, pour confronter l'homme à ses terreurs et à ses contradictions : la sauvagerie et la perversité cachée en tout être humain, le risque de dégénérescence collective, l'étrangeté angoissante du quotidien révélée par les contes fantastiques de Poe ou de Barbey d'Aurévilly. En pleine seconde révolution industrielle ressurgissent ainsi les hordes de sorcières, squelettes ricanants, démons informes, Satans lubriques, magiciennes fatales… qui traduisent un désenchantement provocant et festif envers le présent. Lorsqu'au lendemain de la Première guerre mondiale, les surréalistes font de l'inconscient, du rêve et de l'ivresse les fondements de la création artistique, ils parachèvent le triomphe de l'imaginaire sur le principe de réalité, et ainsi, l'esprit même du romantisme noir. Au même moment, le cinéma s'empare deFrankenstein, de Faust et des autres chefs-d'oeuvre du romantisme noir qui s'installe définitivement dans l'imaginaire collectif."

Au total, pas loin de 200 oeuvres ont été exposées et très bien mises en valeur autour d'un sujet qui n'est pas grand public mais qui moi m'a fasciné.

A l'heure ou j'écris ces lignes, "Gatsby le Magnifique" est le plus grand succès de son réalisateur dans le monde mais il constitue pour moi une déception de plus car "Australia" le précédent film de Luhrmann était déjà un gros pavé indigeste.

Printemps 1922 : L'époque est propice au relâchement des mœurs, à l'essor du jazz et à l'enrichissement des contrebandiers d'alcool… Apprenti écrivain, Nick Carraway quitte la région du Middle-West pour s'installer à New York. Voulant sa part du rêve américain, il vit désormais entouré d'un mystérieux millionnaire, Jay Gatsby, qui s'étourdit en fêtes mondaines, et de sa cousine Daisy et de son mari volage, Tom Buchanan, issu de sang noble. C'est ainsi que Nick se retrouve au cœur du monde fascinant des milliardaires, de leurs illusions, de leurs amours et de leurs mensonges. Témoin privilégié de son temps, il se met à écrire une histoire où se mêlent des amours impossibles, des rêves d'absolu et des tragédies ravageuses et, chemin faisant, nous tend un miroir où se reflètent notre époque moderne et ses combats.

La bande annonce haute en couleur laissait présager d'un grand film classique comme Hollywood les produisait dans les années 50. S'il n'y a rien à dire sur la musique, les costumes, les décors ainsi que Leonardo Di Caprio parfait dans son rôle, le reste du casting n'est pas du tout convaincant, surtout l'héroïne Carey Mulligan énervante au possible. Mais le pire de tout est qu'il n'y a pas d'histoire, il ne se passe pas grand chose pendant 2h22. Je ne parle pas de la 3D complètement inutile mais j'imagine qu'il s'agit d'une exigence du studio.

Baz Luhrmann n'a selon moi jamais égalé la qualité de "Romeo Et Juliette" mais c'était déjà il y a 17 ans (1996) !

Bonjour, hier j'ai écris mon 100e billet sur ce blog et constate avec plaisir que vous êtes nombreux parmi mes amis à le visiter et certains d'entre vous ont même laissé quelques commentaires.

Pour cela je vous en remercie. Vous pouvez désormais depuis quelques mois vous abonner au blog et être avertis de la publication de nouveaux billets en laissant une adresse email dans la rubrique "S'abonner" qui se trouve sur la page d'accueil à droite.

Merci donc à Alexis, Angel, Anne-Marie, Cat, David, Franck, Hélène, Jean, Luis, Micaela, Michael, Miguel, les Nathalies (vous êtes 4), Nicolas, Patricia, Pauline, Sophie, Stephane et Véronique.

Ceux qui me connaissent savent que je suis un fan inconditionnel de Roger Federer car je considère qu'il a une classe infinie, qu'il sait tout faire sur un court de tennis et qu'il s'agit là d'un modèle pour le sport en général.

Mais je dois avouer que ce qu'accomplit Rafael Nadal depuis 2005 est assez prodigieux et admirable également. Même si on peut ou pas apprécier son style de jeu, il faut lui reconnaitre une détermination et une attitude de champion exemplaire. Alors qu'il s'est arrêté près de 7 mois pour cause de blessure aux genoux en juillet 2012, il a repris la compétition en février 2013, a atteint toutes les finales des tournois auxquels il a participé (8) et gagné 7 titres (3 Masters 1000 et Roland Garros).

Sa 8e victoire à Roland Garros lui permet de battre un record puisqu'aucun joueur n'a jamais gagné 8 fois le même tournoi du Grand chelem. Le seul capable de le faire est....Roger Federer qui a 7 Wimbledon à son actif.

Nadal a 12 Grand Chelem à son palmarès et devrait pouvoir égaler Pete Sampras (14) avant de pourquoi pas, s'attaquer au Maitre suprême qu'est Federer (17 - Série en cours).

En début d'année, il ne savait pas s'il allait pouvoir rejouer un jour au tennis mais force est de constater que grâce aux soins, travail et soutien de ses proches il est parvenu à revenir très fort. Comme lors de cette incroyable demie finale de Roland contre Djokovic qui a bien faillit réussir ce que j'appelle le plus grand défi du tennis actuel : Battre Nadal à RG. Nul doute que Djoko-Nadal sera le duel au plus haut sommet du tennis durant les prochaines années.

Mention spéciale à David Ferrer qui a mérité sa finale car lui aussi est un bosseur et à 31 ans, c'est une belle récompense d'atteindre ce niveau.

Wimbledon commence dans deux semaines et j'ai hâte de voir ça.

5 films ont retenu mon attention pour ce moi de juin qui voit débarquer sur les écrans quelques blockbusters américains très attendus et qui nous rappellent en dépit du temps, que l'été approche.

Star Trek - Into darkness (de J.J.Abrams avec C.Pine, Z.Quinto - 2h10) : Alors qu’il rentre à sa base, l’équipage de l’Enterprise doit faire face à des forces terroristes implacables au sein même de son organisation. L’ennemi a fait exploser la flotte et tout ce qu’elle représentait, plongeant notre monde dans le chaos…Dans un monde en guerre, le Capitaine Kirk, animé par la vengeance, se lance dans une véritable chasse à l’homme, pour neutraliser celui qui représente à lui seul une arme de destruction massive. Nos héros entrent dans un jeu d’échecs mortel. L’amour sera menacé, des amitiés seront brisées et des sacrifices devront être faits dans la seule famille qu’il reste à Kirk : son équipe...Sortie prévue le 12/06/13

Mon avis : Le 1er film de J.J.Abrams était vraiment d'excellente facture et constituait un divertissement de grande qualité tout comme se présente celui-ci au vu de la sombre bande annonce.

Man of steel (de Zack Snyder avec H.Cavill, A.Adams et R.Crowe - 2h23) : Un petit garçon découvre qu'il possède des pouvoirs surnaturels et qu'il n'est pas né sur Terre. Plus tard, il s'engage dans un périple afin de comprendre d'où il vient et pourquoi il a été envoyé sur notre planète. Mais il devra devenir un héros s'il veut sauver le monde de la destruction totale et incarner l'espoir pour toute l'humanité...Sortie prévue le 19/06/13

Mon avis : Ce film est peut être celui que j'attends le plus en cette année 2013 avec la suite du Hobbit. Zack Snyder revisite le mythe Superman en y apportant une touche dramatique après le bide de Superman Returns de Bryan Singer en 2006. La bande annonce est d'une beauté sans nom....Vite !!!!!

Joséphine (d'Agnès Obadia avec M.Berry, B.Krief - 1h35) : Joséphine, 29 ans trois-quart, obnubilée par la taille de ses fesses, source de tous ses problèmes, n’a toujours pas trouvé l’homme de ses rêves non-fumeur-bon-cuisinier-qui-aime-les-chats-et-qui-veut-plein-d’enfants. Sa seule consolation, c’est qu’elle vit avec Brad Pitt… consolation de courte durée puisque c’est son chat. Quand sa soeur lui annonce son mariage, c’est la goutte d’eau qui fait déborder la tasse à café. Elle s’invente alors une histoire d’amour avec un riche chirurgien brésilien qui lui a demandé sa main et l’emmène vivre au bout du monde. Facile à dire… Ce (petit) mensonge va l’entraîner dans un tourbillon d’aventures...Sortie prévue le 19/06/13

Mon avis : Un petit peu de douceur et de comédie dans ce monde de brutes. Je trouve la BD dont est inspiré ce film très drôle et le film a l'air d'être assez fidèle à l'oeuvre originale avec en bonus la présence de comédiens vraiment talentueux dont l'humoriste Bérangère Krief. Petite précision qui a son importance : les fesses de Josephine ne sont pas celles de Marilou Berry mais des prothèses.

Room 237 (de Rodney Ascher - 1h42) : En 1980, Stanley Kubrick signe Shining, qui deviendra un classique du cinéma d'horreur. A la fois admiré et vilipendé, le film est considéré comme une oeuvre marquante du genre par de nombreux experts, tandis que d'autres estiment qu'il est le résultat du travail bâclé d'un cinéaste de légende se fourvoyant totalement. Entre ces deux extrêmes, on trouve cependant les théories du complot de fans acharnés du film, convaincus d'avoir décrypté les messages secrets de Shining. ROOM 237 mêle les faits et la fiction à travers les interviews des fans et des experts qui adhèrent à ce type de théories, et propose sa relecture du film grâce à un montage très personnel. ROOM 237 ne parle pas seulement de fans d'un film mythique – il évoque les intentions de départ du réalisateur, l'analyse et la critique du film...Sortie prévue le 19/06/13

Mon avis : une fois n'est pas coutume, il s'agit d'un documentaire dont il est question ici. La bande annonce ne montre aucun extrait mais rien que le fait qu'il s'agisse de Shining, attire mon attention car je suis un vrai fan de ce film qui fait partie de ceux que j'emporterai avec moi sur une île déserte s'il fallait choisir.

La marque des anges - Miserere (de Sylvain White avec G.Depardieu, Joeystarr, H.Noguerra - 1h45) : A Paris, Lionel Kasdan, commissaire de la BRI à la retraite, enquête sur un meurtre étrange : un chef de chœur a été retrouvé mort dans sa paroisse, les tympans détruits, sans qu'aucun témoin n'ait apparemment assisté à la scène. De son côté, Frank Salek, un agent d'Interpol menacé d'être mis à pied par ses supérieurs à cause de son comportement excessif, traque la piste d'une organisation secrète, spécialisée dans le kidnapping d'enfants. Lorsque Salek apprend la mort du chef de chœur, il pense avoir établi un lien avec sa propre enquête et accepte de faire équipe avec Kasdan. Mais plus l'enquête avance, plus Salek semble perdre pied, comme rattrapé par un secret jusque-là enfoui. Dès lors, les deux hommes vont plonger dans une affaire qui trouve sa source dans les heures les plus sombres de la Seconde Guerre mondiale...Sortie prévue le 26/06/13

Mon avis : Il s'agit ici d'un thriller à la française du style "Rivères pourpres" et la comparaison est d'autant plus judicieuse qu'il s'agit également ici d'une adaptation d'un roman de Jean-Christophe Grangé. La bande annonce intrigue et donne envie de se plonger dans cet univers glauque à souhait.

Lundi dernier, j'ai passé eu la chance de passer une journée à Roland Garros avec mon frère à l'occasion des 1/8e de finale du plus prestigieux des tournois de terre battue.

Il faisait beau en cette journée mais pas trop chaud sur le court Philippe Chatrier, ce qui fait que bien qu'ayant pris des couleurs nous avons pu éviter les coups de soleil. Nous étions situés en haut des gradins sur le côté du court en face des chaises des joueurs. J'avais des craintes vis à vis de la visibilité mais où que l'on soit sur ce court, elle est très bonne.

Au programme du jour ? Que du lourd ! Azarenka (3e joueuse mondiale), Schiavone (gagnante 2010), Djokovic (le n°1 mondial), Nadal (le patron des lieux) et Sharapova (tenante du titre et n°2 mondiale).

Le match Schiavone-Azarenka n'a pas été passionnant car à sens unique en faveur de la joueuse Russe. Le même constat peut être fait du match Nadal-Nishikori qui m'a quelque peu déçu car le japonais pourtant 15e mondial n'a pas proposé une forte opposition. Il a permis toutefois de se rendre compte des impressionnants effets de la balle de Nadal qui est tout simplement injouable ! Nadal s'est offert un beau cadeau pour son 27e anniversaire qui lui a été fêté par le tournoi avec un grand gâteau, des fleurs, quelques articles de la boutique de Roland (j'en parlerai un peu plus loin de celle-là) et surtout tout le public du central qui lui a chanté "joyeux anniversaire", un beau moment.

Le match Djokovic-Kolschreiber a tenu toutes ces promesses : l'allemand, 19e mondial a été le premier à prendre un set au n°1 mondial et a tenu tête pendant près d'un set et demi au serbe.Beau match et Djoko en vrai, c'est vraiment très costaud !

En fin de journée, alors que ce jouait le match Gasquet-Wawrinka sur le court Suzanne Lenglen, Maria Sharapova entrait sur le court pour y affronter l'américaine Stephens. Nous n'avons pas assisté au match mais uniquement au début de l'échauffement pour y voir la belle Maria pleine de grâce.

En sortant du court, nous nous sommes rendus à l'une des boutiques du stade car je souhaitais acheter ces grosses balle de tennis que l'on vois se faire dédicacer à la fin des matchs à la télé.Et bien ce n'a pas été possible car les prix sont inaccessibles. Ces balles sont vendues 32€ et un simple bug 17€. Donc mieux vaut y aller avec ses économies !

Je vous laisse quelques photos prises ce jour là.

Parmi les nombreux live metal qu'il m'arrive de visionner, il y en a quelques uns que je prend grand plaisir à voir et revoir comme ce live de 2006 "One cold winter's night" du groupe américain Kamelot.

Kamelot est un groupe de metal symphonique formé par le guitarriste Thomas Youngblood qui compte 9 albums studios publiés entre 1995 et 2012. Le batteur Casey Grillo fait régulièrement partie de la liste des meilleurs batteurs qu'établit le magazine Rolling Stone et entre 1998 et 2010, le groupe a bénéficié de la présence d'un chanteur d'exception du nom de Roy S Khan qui est norvégien et c'est sur ses terres que ce live a été tourné.

La set list est constituée essentiellement des 3 derniers albums publiés par le combo à cette époque, à savoir "Karma", "Epica" et "The black halo" qui résument la meilleure période de ce groupe aux morceaux très mélodiques. Le son est excellent, les musiciens au top, la performance de Khan démontre qu'il est l'un des tous meilleurs de la scène metal de l'époque, les choeurs féminins et les collaborations sont vraiment au diapason, le public est très participatif et le plaisir pris est énorme.

Rhoy S Khan a quitté le groupe en 2012 et a été remplacé par Tommy Karevik qui sans atteindre la qualité de son prédécesseur se révèle être très bon.

Je vous laisse avec 3 moments forts de ce live :

Voici une bande dessinée grand format de 260 pages récompensée en 2012 par le prix de la Fnac lors du festival d'Angoulême et qui est une pure merveille de narration et esthétiquement magnifique.

L'histoire : La vie est grise. Simon Muchat, auteur de bandes dessinées, est en panne d'inspiration et son existence est en perte de sens. Invité à passer quelques jours au Portugal, il retrouve par hasard ce qu'il n'était pas venu chercher : les odeurs de l'enfance, le chant des rires de vacances, la chaleur lumineuse d'une famille oubliée- peut-être abandonnée. Quel est le mystère des Muchat? Pourquoi Simon se sent-il nulle part? Et pourquoi, sans rien comprendre à cette langue étrangère, vibre-t-il à ses accents? Des réponses et d'autres questions l'attendent au cours de ce voyage régénérateur. Ancré dans son passé gommé, Simon pourra enfin retracer sa propre trajectoire. Et la vie retrouver ses arcs-enciel.

Cette BD parle de quête d'identité, trouver un sens à son existence, recherche de ses racines et nous immergent complètement dans les odeurs, couleurs et ambiances du Portugal et de ses habitants. Je ne suis pas d'origine portugaise mais en tant qu'espagnol je me sens assez proche de ce qui est raconté dans cette histoire : L'immigration des parents venant chercher du travail en France, le retour au pays d'origine, les réunions de famille, les souvenirs d'enfance...

L'auteur est d'origine portugaise et réalise avec cet album son chef d'oeuvre sans être totalement auto-biographique.La technique de dessin alterne l'aquarelle et le dessin sur ordinateur et participe beaucoup à l'immersion dans le récit. Les couleurs s'adaptent au moments su récits et restituent parfaitement ce que vivent les personnages.

Je recommande fortement cette oeuvre qui ne laissera personne indifférent.

Onirim est un jeu de cartes pour un à deux joueurs à partir de 8 ans pour des parties de 15mn max. Dans ce jeu le joueur se promène à travers la chambre des rêves tout en espérant que la chance lui dévoile les portes. Dans tous les cas le joueur devra affronter les cauchemars qui hantent les corridors du labyrinthe. le joueur affronte la mécanique du jeu et son objectif sera de trouver les 8 portes des rêves avant que la pioche ne s'épuise.

Il s'agit donc d'un jeu à l'esprit coopératif dont la mécanique est très simple mais la résolution ardue car le joueur devra faire des choix lorsqu'il se trouvera confronté aux nombreux cauchemars. Ces choix pourront précipiter sa défaite.

J'aime beaucoup le principe de pouvoir jouer seul car on a pas toujours un partenaire sous la main pour pouvoir le faire. Le jeu se présente dans une petite boite cartonnée facilement transportable. La boite contient un jeu de base auquel s'ajoutent 3 extensions qui compliquent davantage le jeu qui n'est déjà pas simple en version de base.

Pour la petite histoire, sachez que l'auteur ne vient pas du tout du secteur du jeu de société puisque c'est un chanteur d'opéra de renommée internationale.

Pour l'achat de vos jeux de société, je vous recommande de les acheter sur le site http://www.ludifolie.com qui propose des prix défiant toute concurrence car en dessous des prix du marché. Son responsable, Eric est très professionnel et offre des remises de 5% lorsque vous venez retirer votre commande sur place, du côté de Vincennes.

Onirim est proposé au prix de 9,47€ ou 9€ sur place

J'étais très curieux de voir un film de ce réalisateur prometteur et je dois dire que je n'ai pas été déçu tant ce film m'a paru maîtrisé de bout en bout.

L'histoire : Ellis et Neckbone, 14 ans, découvrent lors d’une de leurs escapades quotidiennes, un homme réfugié sur une île au milieu du Mississipi. C’est Mud : un serpent tatoué sur le bras, un flingue et une chemise porte-bonheur. Mud, c’est aussi un homme qui croit en l’amour, une croyance à laquelle Ellis a désespérément besoin de se raccrocher pour tenter d’oublier les tensions quotidiennes entre ses parents. Très vite, Mud met les deux adolescents à contribution pour réparer un bateau qui lui permettra de quitter l’île. Difficile cependant pour les garçons de déceler le vrai du faux dans les paroles de Mud. A-t-il vraiment tué un homme, est-il poursuivi par la justice, par des chasseurs de primes ? Et qui est donc cette fille mystérieuse qui vient de débarquer dans leur petite ville de l’Arkansas ?

Tout d'abord je dois dire que le casting est vraiment excellent en commençant par le jeune acteur Tye sheridan qui incarne le personnage d'Ellis vraiment touchant dans son rôle qui le voit grandir à marche forcée face aux difficultés de sa vie familiale et le passage de l'enfance à l'adolescence qui est une période assez ingrate il faut le reconnaitre. Ensuite il y a Matthew Mc Conaughey qui interprète une sorte de Robinson Crusoé admiré par ces deux garçons. Ensuite il y a la belle Reese Witherspoon qui est parfaite dans son rôle de fille à la dérive et qui est le personnage déclencheur de tous les évènements dramatiques de l'histoire.

On s'attache à cette histoire qui met en évidence la lâcheté de certains adultes et la spontanéité de l'enfance. L'amour, l'amitié, la famille au coeur de la tourmente et tout ça sublimé par les magnifiques images du Mississippi.

Je vous le recommande fortement et moi je m'en vais voir "Take shelter" le précédent film de Nichols.